Moite, moite, moite. - Paul Cox, Cox codex 1. - CommentairesLe cheveu comme support à la capillarité du songe.2010-04-14T21:17:09+00:00urn:md5:69846c66ca0839734d362d66ba887963PluXml 5.0.2Paul Cox, Cox codex 1. - par admin le mercredi 14 avril 2010, 21:17urn:md5:c399b9d45a51f5767a0b7d5de97fc46b2010-04-14T21:17:09+00:00adminJe retrouve cette idée de prolifération au moment même du geste du dessin, je ne choisis pas de prendre tel pinceau et de le tremper dans telle couleur, je laisse monter en grattant le papier. Le trait est multiple, rythme/fréquence.
Jusque là en peinture je faisais de l'irréversible : je posait un sploch qui me donnait la sensation d'exister : un éclair unique, qui déchire le ciel définitivement,Paul Cox, Cox codex 1. - par admin le mercredi 14 avril 2010, 17:46urn:md5:95f6df3bcb6c08bf4b2b43f9dc3d8ac92010-04-14T17:46:37+00:00adminNe pas figer, ne pas tout mettre dans un dessin, en faisant plusieurs dessins je me libère de ma censure. Le multiple opposé à l'unique me permet de créer en faisant confiance au temps : si tout n'est pas dans ce dessin, j'en ferai un autre en complément.
La confiance dans le temps donne accès à la prolifération, à l'ensemble de fragments, il n'y a pas d'Oeuvre, mais bien un ensemble de dessins modulables.Paul Cox, Cox codex 1. - par admin le mercredi 14 avril 2010, 17:45urn:md5:56a57bde3fadae27d53635be0398433d2010-04-14T17:45:14+00:00adminDans le Cox Codex, Cox a créé un système pour se libérer de la forme. Dans ses œuvres tout est simple, il utilise des outils et des supports d'écoliers : cahiers à spirale, crayons de couleur. Il utilise des couleurs primaires, sans mélange, les couleurs se mélangent par vibration, par couche, dans le temps par agencement.